COMPETITIONS 2012 – – Cross de la méditerranée

CROSS DE LA MEDITERRANEE

Aujourd’hui 3 présents au Cross Méditerranée Porte des Maures: Chantal Meillerand, Phillipe Berger et moi-même, Jérémy Payot.

Le cross était vraiment beau et bien organisé.
Il comportait 4 boucles à effectuer dans les vignes. Son profil est assez complet avec pas mal de relances.
Mise a part quelques petites gouttes avant le départ on a échappé à la grosse averse qui était prévu, le parcours était plus que praticable.

Le niveau de la course était très relevé avec la présence des Kényans et des meilleurs coureurs de la région. D’ailleurs ça ne m’étonnerait pas que je sois seulement dans les 40 voire 50èmes places !

Parti prudemment, je ne suis rentré dans ma course qu’à la fin de la première boucle.
A partir de là j’ai remonté les concurrents un à un en relançant dans chaque montée.
Il n’y a qu’à la fin de la dernière boucle que j’ai commencé à pêcher, mais c’était sans compter sur les encouragements de Chantal et Phillipe qui m’ont permis de ne rien lâcher et de reprendre le coureur qui m’avais doublé juste  !

Course des As Femme :

45ème : MEILLERAND Chantal 25min06′ (60 participants)

Course des As Homme :
42ème : PAYOT Jérémy 35min51′ (133 participants)

Résultats Complets

Autres résultats :

10km de Tournon

70ème : SAFFIOTI Franck 38min45′

591 arrivants

COMPETITIONS 2012 – – Course du calendrier – Foulée vénissiane

COURSE DU CALENDRIER


Le compte rendu de Stéphane Giordanengo sur le site de The North Face :
 » Ce matin avait lieu la course du calendrier, un 10 km tracé autour du Stade Charles Ehrmann de Nice, sur un parcours sinueux, truffé de relances, et composé de multiples boucles. Un vrai casse-tête pour les organisateurs ! D?autant qu?au bout de 5 km, il fallait repartir pour le même parcours, mais en sens inverse. En mode miroir en quelque sorte. Mode dans lequel les premiers croisaient alors les derniers.

Toujours dans l?idée de travailler ma vitesse durant ma pause hivernale de trail, je me suis aligné sur cette épreuve, comme ce sera le cas au cross des Iles dans 2 semaines, à la Cursa di Natale de Monaco le 16 décembre, et la Prom classic le 6 janvier. Avec peut etre une incartade le 8 décembre, un trail nocturne de 8 km, organisé au profit du téléthon sur mes terrains d?entrainement, à Blausasc, par Sylvain Camus.

En l?absence des cadors de la discipline, j?ai remporté la course ! Mais après une belle bagarre avec Christophe Maximilien de Courir en Pays de Grasse. J?ai d?abord mené jusqu?au 3ème kilomètre. Puis il a pris les devant, et j?ai dû batailler ferme pour ne pas me faire distancer. Juste avant le demi-tour, au 5ème kilomètre, je suis repassé en tête et me suis légèrement détaché. Mais il est revenu sur moi au 7ème kilomètre et a repris les choses en main au 8ème. Le final s?effectuait dans le stade Charles Ehrmann. A l?entrée, on était foulée dans foulée. Mon rival du jour a alors produit un effort, je crois qu?il devait penser qu?il ne restait qu?un tour de piste. A mon chrono, on était à 30mn30, je ne me suis donc pas enflammé. Effectivement, il restait 3 tours. Christophe a alors un peu ralenti et j?ai bouclé les deux derniers tours légèrement détaché.

C?est la première fois que je remporte un 10 km. Bon les meilleurs n?étaient pas là et le chrono est moyen : 35mn06 (à peu prés comme à Grasse, sachant que le parcours est moins roulant, plus typé cross) mais ça fait toujours plaisir ! « 
Les résultats :

Stéphane Giordanengo : Vainqueur en 35 min 06.
Jean-Marc Taraud : 24ème en 43 min 25 / 1er V3 / record Peillon.
Francis Bonnet : 31ème en 45 min 00 / 3ème V3.



10 KM DE VENISSIEUX

 » Pour cette année 2012 je n’avais toujours pas battu mon record sur 10km. Rien de mieux par conséquent que de revenir sur les lieux de ma meilleure performance de l’an passé pour tenter ce challenge. Je me suis donc rendu à Vénissieux avec mon ami Christophe avec cet état d’esprit : « c’est maintenant ou jamais ». Chose amusante, je passe au 5ème kilomètre en 18’24, soit le même chrono qu’en 2011. Tandis que l’an passé j’ai été capable d’accélérer le rythme sur la seconde partie, cette année, je me suis un peu écroulé puisque je fais 18’32 sur le 2ème 5km contre 18’10 en 2011. Seul mon dernier kilomètre en 3’25 » a été satisfaisant. « 
Franck Saffioti : 36 min 57 et 165ème/818 (quel niveau !)



La semaine précédente au 5km de Meyzieu, j’ai fait 18’28 » (record personnel) mais comme on peut le voir, j’ai fait mieux sur cette distance à travers la course de Vénissieux.

– Stéphane Giordanengo

Le portrait du mois

Pour une bonne interview il faut un mec qui répond bien aux questions et un qui les pose bien aussi. Je crois que cette fois on a tout ce qu’il faut !

Merci à Stéph (notre coureur du mois) et à J.C Hubert (notre intervieweur de l’année.


Interview du Giordanengo

 

1) Bonjour Stephane Giordanengo

Bonjour Jissé Hubert

 

2) Je te rappelle le principe de l?interview tu réponds avec tes capacités mentales si t?en as, et tu n?as pas le droit au joker.

Tu vas commencer par te présenter s?il te plait, dis nous qui tu es, d?où tu viens, ce que tu veux faire dans la vie?

Stéphane Giordanengo, né le 26 juillet 1978 à Nice. Enfant j?ai fais 4 ans de tennis et 1 an de foot, mais dans ces deux sports j?étais extrêmement mauvais (enfin plus qu?en course quoi). En 1995 je me suis mis au VTT (cross country), j?ai participé à des compétitions de cette discipline jusqu?en 2008.

En 2001 j?ai réussi un concours, et j?ai été affecté à Paris (où j?ai vécu jusqu?en 2006). Dans un premier temps je n?avais pas de vélo, j?ai d?abord arrêté tout sport pendant quelques mois, puis je me suis mis à courir (ce que j?avais déjà un peu fait à partir de 1998, à l?époque j?étais entrainé par JB Wiroth et il incluait parfois des séances de course en complément du vélo, et également en 2000 à Lyon lors de mon service national effectué dans la Police). J?ai ensuite monté un vélo à Paris, mais j?ai continué à courir, et j?ai participé à ma première course vers 2003 ou 2004 (à Neuilly, un 10 km couru en 36mn15 à peu prés). Au fil du temps les courses pédestres ont été plus nombreuses que celles de VTT, et depuis 2008-2009 je ne fais quasiment plus que ça, principalement du trail, sport dont l?effort et les terrains se rapprochent de ceux de mon sport d?origine.

Côté professionnel, je travaille depuis fin aout au service des sports du Conseil général des Alpes-Maritimes.

Donc on va dire que maintenant je fais ce que je voulais faire dans la vie !

Je suis également correspondant course à pied pour Nice Matin, et pour la version PACA du magazine Running Mag. J?organise aussi une manifestation sportive, Speed Limaces et le Trail des Limaces, dont ce sera le 25 mai prochain la 3ème édition.

Sinon j?adore le cinéma, les one man show, voyager?

 

3) Ca va nous raconte pas ta vie non plus.

On sait que tu es le meilleur coureur du club, tu ne t?en caches pas, quel est ton secret ?

On est plusieurs coureurs pas trop mauvais dans le club. Cette saison, 6 membres ont gagné des courses au scratch : Cedrick, qui lui est un ton au dessus de nous, je le côtoie depuis mes premières courses de VTT au milieu des années 90, il a toujours eu une caisse d?enfer ! Emti, Laurent. Julien et Magali au relais du Pan Bagnat l?an dernier. Et moi-même. Cette année je pense qu?on sera loin d?être ridicule dans les classements par équipe sur les cross !

Sinon pour les secrets, il y en a plusieurs : les bracelets magiques, les manchons de compression, les mulebars, la maitrise du haki, du shakra et du nen? Et un petit peu aussi l?entrainement quand même !

 

4) Quels sont tes terrains de prédilections, ceux ou tu excelles comme un tableur ? et si oui pourquoi ?

Avant j?aimais bien les courses de côte sur route, car elles sont peu traumatisantes, et j?étais un pas trop mauvais grimpeur. Mais les années passant et le poids augmentant, ce n?est plus trop vrai maintenant ! Mon terrain de prédilection, et surtout celui que je préfère, c?est la nature. En course on va dire que ma distance idéale, ce sont les trails entre 25 et 30 km, avec des descentes très techniques, c?est souvent là que j?arrive à compenser le retard pris dans les montées.

 

5) Dans le club y a une personne qui t?impressionne particulièrement, c?est Marc Taraud dit Emti, c?est un peu je t?aime moi non plus avec lui non ? Explique-nous votre relation si ambiguë.

Disons que comme j?ai toujours refusé ses avances, il oscille sans arrêt entre les périodes amoureuses et celles durant lesquelles il est plus tendu (au sens figuré j?entends?).

Non pas que ce ne soit pas réciproque, mais il a une petite amie, des enfants?

 

6) On rappelle que tu es responsable des sports au niveau national pour le conseil général, le sport ça a toujours fait parti de ta vie ?

Déjà, je ne suis pas « responsable », je suis juste un des membres du service des sports. Et le Conseil général a des compétences au niveau départemental et non régional. Faudra réviser tes cours sur la décentralisation.

Depuis 1995 oui le sport a toujours fait partie de ma vie (à part la période de coupure en 2001 citée précédemment). Il y a plein d?autres choses qui m?intéressent, mais pour arriver à bien s?entrainer il faut gérer son temps, et donc adapter les autres activités en fonction du sport. Je sais longtemps à l?avance ce que je vais faire de mes week end par exemple, en fonction des courses auxquelles je vais participer.

Et c?est sur que maintenant que je bosse dedans, le sport occupe une place encore plus grande. Mais ce n?est pas pour autant que le reste est moins important à mes yeux. D?ailleurs je n?apprécie pas forcément les soirées où il n?y a que des sportifs, car les conversations ne tournent généralement qu?autour de ça, et ça devient vite lassant !

 

7) Maintenant j?aimerai que tu répondes très vite très simplement, comme t?as l?habitude, qu?est ce qui te plait dans la course à pied par rapport a ton sport d?origine : le vélocipède ?

Il y a déjà un coté pratique. Courir c?est beaucoup plus simple que rouler. Une paire de chaussure de running suffit. On peut courir sans problème sous la pluie, de nuit, en été comme en hiver? En vélo, l?hiver c?est un calvaire, les extrémités ne chauffent jamais. Et sous la pluie ou de nuit c?est très dangereux. Bien souvent en plus, quand on descend au garage, il y a un souci technique imprévu : pneu crevé, chaine cassée, plaquettes de freins usées? D?un point de vue logistique, on se sent bien plus libre dans la course donc !

Ensuite niveau entrainement, c?est beaucoup plus light aussi. Pour être compétitif au niveau départemental, en vélo il fallait que je roule énormément, quelque chose comme 5 ou 6 sorties de 2h30-3h par semaine.

Alors qu?en courant par exemple 5 fois 1h par semaine on peut déjà être bien sur les courses.

Au début j?avais une petite frustration de ne pas être sur mon vélo dans les descentes. Maintenant je prends autant de plaisir en vélo qu?à pieds dans les descentes sur sentiers.

 

8) Sortons un peu du sport maintenant. Qu?est ce que tu penses de ce qui passe en ce moment autour de la culture du pois chiche en Mongolie exterieure ?

La Mongolie exterieure, longtemps sous influence soviétique a vu s’étendre et s’industrialiser depuis peu une culture ancestrale, celle des pois chiches nains. Cette culture, en introduisant dans ce pays les techniques publicitaires modernes, a réussi à augmenter la consommation intérieure de ce légume sec, développant ainsi ses débouchés.
Cependant les problèmes techniques posés par la massification de cette culture, notamment la question de l’irrigation, sont nombreux et s’ajoutent encore à ceux, gastriques, de ses habitants. Les mongols émettent de plus en plus de flatulences, mais ce phénomène qui pourrait prêter à sourire a des conséquences dramatiques.
Depuis 1991, on a relevé 25 689 chutes de chevaux directement imputables à la consommation de ces pois chiches. En effet les chevaux de ce peuple en grande partie nomade ont tendance à réagir par des ruades aux flatulences malodorantes de leur cavaliers.
Le pois chiche nain est désormais devenu l’objet d’un débat national et un référendum est bientôt prévu pour décider de la poursuite, ou non, de cette expérience agricole. Il est prévu dans deux mois, et le score s’avère d’ores et déjà aussi serré que les fesses d’un mongol qui se contiendrait pour ne pas gâcher une première nuit d’amour.
Affaire à suivre (à l’odeur) donc…

 

9) Merci wikipédia.

Tu as l?air bien, épanoui, ça va ?

En général je suis toujours heureux et épanoui. Ça va donc 😉

 

10) Tu veux boire un truc ? J?ai de la bière. Ou du coca si tu veux mais il est pas frais.

Emti a souvent essayé de me faire boire de la bière (je te laisse deviner dans quel but il voulait me saouler ? autrement que par ses paroles j?entends), mais je n?aime pas ça.

Et boire du coca chaud y?a rien de pire. Enfin si, y?aurait boire du coca dans le même verre que Marc? Mais personne de censé ne ferait ça non ?

 

11) Tu rédiges aussi des articles de course à pied pour des revues dont il vaut mieux taire le nom. Tes articles abondent de façon pléthorique de fadaises, voire même de billevesées, qui sont au mieux des sophismes, au pire des paralogismes. Est ce fait à dessein ?En ce cas vivement l?allégorie de l?amphigouri ?

Quand je cite le club dans ces articles, bien évidemment ! Pour les sponsors, tout ça, tu vois?

12) C?etait pas ma question mais passons.

On sait que tu voyages beaucoup, quelle est ta prochaine destination ?

Je n?en ai pour le moment aucune idée. J?aimerais visiter Yellowstone. Aller en Australie et en Nouvelle Zélande. Mais aussi en Suède, au Vietnam, peut être au Laos… Retourner aux USA de façon générale, au Japon pour approfondir. Ou pourquoi pas organiser un voyage en fonction d?une course, comme l?Olympus marathon en Grèce, le Pikes Peak marathon dans le Colorado, l?ascension du mont Kinabalu en Malaisie?

 

13) On sait que tu es cinéphile, quel sera ta prochaine sortie ciné ?

Au moment de la publication ce ne sera peut être pas ma prochaine sortie ciné car je l?aurais surement déjà vu, mais Argo de Ben Affleck dont les 2 premiers films étaient déjà des bombes. Sinon dans les sorties qui approchent : End of Watch, L?odyssée de Pi, The Impossible? Un peu plus loin, en janvier, le plus attendu de tous, Django unchained !

Et si il est sage, j?emmènerais Jissé voir Bilbo le Hobbit, même si ça ne m?attire pas plus que ça. Et si il est vraiment très très sage, à la sortie je lui achèterais un flamby qu?il pourra manger démoulé dans une assiette, comme il aime.

 

14) Si un génie t?accordait 3 v?ux tu choisirais quoi ?

– Avoir un compte en banque illimité pour faire tout ce dont j?ai envie sans avoir à travailler, et donc beaucoup plus de temps disponible (je m?occuperais quand même en organisant des courses, qui du coup seraient financées par moi-même, et n?auraient pas de limites en dotation, remise des prix, etc etc?).

– Pouvoir me téléporter (j?ai pas trop de patience dans les bouchons, et rien ne m?énerve plus que tourner en ville sans trouver de place pour me garer !).

– Ne jamais perdre un proche.

 

15) On va finir par une dernière question sur le club, qui admires tu le plus à courir à Peillon et pourquoi ?

Je ne peux pas en citer un seul, il y en a tant que j?admire (ça fait réponse de politicien non ? Mais il faut ménager les susceptibilités !).

Cédrick pour ses incroyables facultés de grimpeur, que ce soit en vélo ou à pied.

Sébastien pour sa détermination. Florent pour sa culture cinématographique de 1902 à nos jours ! Franck et Julien pour leur cool-attitud permanente (ça impressionne quand on n?a pas de patience !). Hans pour les distances de malade qu?il est capable d?avaler même avec peu d?entrainement (et dans son cas, quand il dit qu?il ne s?est pas entrainé depuis 3 semaines ? vous avez remarqué, les coureurs c?est toujours depuis 3 semaines qu?ils ne se sont pas entrainé ? lui je pense qu?il ne ment pas).

Fabrice m?impressionne avec ses « pouvoirs ». J?ai vu ses vidéos de karaté, ça en jette grave !

Emti, qui arrive à ingurgiter 3 pizzas et 4 bouteilles de rosé dans la même soirée (talonné de près par David). Rodolphe, qui vit très bien le fait d?avoir le même prénom qu?un petit renne au nez rouge.

Laurent, qui coupe les arbres avec la tranche de la main comme personne?

? Non mais bien sur je plaisante. Je n?admire personne à Peillon, l?année prochaine j?irais à l?ASPTT !

 

Quel comique ce Stephane !

Donc merci et à bientôt sur un podium (ou chez Ruquier dans « on ne demande qu?a en rire ») !

COMPETITIONS 2012 – – Pan bagnat – Larvotto – Paroisses

Le relais du Pan’Bagnat


La météo annonçait un week-end pluvieux dans les alpes-maritimes. Et ce dimanche matin, les coureurs de Peillon se sont levés avec la conviction qu’ils courraient sous la pluie…
Mais apparemment Râ, le dieu du soleil, était dans le camp du Relais du Pan’Bagnat, course par équipe originale organisée dans le Parc Estienne d’Orves à Nice !
En effet, à quelques minutes du grand départ, une auréole lumineuse laissait transparaître les chauds rayons du soleil !
Le Relais du Pan’Bagnat : voilà une course qui connaît la gloire dès sa deuxième édition. Soixante équipes, soit le maximum, étaient inscrites ! Chaque équipe est composée de 3 coureurs dont au moins une féminine. Le parcours mesure environ 4,5 km et débute par une petite boucle dans le parc, avant de le quitter par le haut et d’emprunter la corniche de Magnan. Après une montée sur route d’environ 1,5 km, les coureurs redescendent vers le parc pour rejoindre le « village » comme aimait à nommer ainsi les installations d?arrivée le speaker.
Voici le règlement de la course : la 1ère boucle est effectuée par la (ou une) féminine de chaque équipe. A son arrivée, elle tape la main d’un de ses coéquipiers qui part pour une deuxième boucle ; idem pour le troisième. Le troisième n’a pas droit au repos, puisque à son arrivée, l’équipe entière part pour une ultime boucle qui doit obligatoirement être parcourue « en équipe ».
A ce jeu d’équipe, des peillonnais se sont montrés très bons !
4 équipes sont concernées :
– Equipe 1 : Michèle Simoncelli, Laurent Bermon et Fabien Lodz
– Equipe 2 : Angélique Duchemin, Julien Waltzer et Arno Champalle
– Equipe 3 : Seb Huault et 2 amis
– Equipe 4 : Audrey Heilmann, son mari Yann et une amie

L’équipe 1 gagne le relais en 1 h 18 min 53 !!! Et heureusement pour Michèle à qui les 2 garçons avaient mis une pression sensible ! Il faut bien dire que 2 des 4 boucles sont effectuées à l’allure de la féminine ! Bravo donc à Michèle et à toute l’équipe pour cette victoire.

L’équipe 2 termine à la place du con… 4ème en 1 h 21 min 25 ! Pourtant, après s’être fait doubler par les 4ème à mi-parcours dans la dernière boucle, ils n’ont rien lâché et échouent à quelques mètres de leurs concurrents. Mention spéciale à Angélique pour sa combativité !

L’équipe 3 termine 33ème en 1 h 41 min 44….

Et enfin l’équipe 4 termine 22ème en 1 h 34 min 53….

Les résultats par équipe.

Laurent Bermon : 16 min 34.
Fabien Lods : 18 min 11
Michèle Simoncelli : 21 min 51.
Arno Champalle : 18 min 27.
Julien Waltzer : 17 min 31
Angélique Duchemin : 22 min 39.
Sébastien Huault : 18 min 39
Audrey Heilman : 25 min 38.
Yann Heilman : 21 min 05.

Bravo à l’organisation car tous les concurrents ont passé une belle matinée, et vivement l’année prochaine avec plus de peillonnais, on l’espère !!!

Arno Champalle

CROSS DU LARVOTTO


Robert Sai et Antoine Vissuzaine se sont rendus à Monaco pour le cross du Larvotto.

Robert Sai : 17e – 25’33 »
Antoine : 35e – 28’22 »
75 coureurs classés


LA COURSE DES PAROISSES


Résumé à venir avec en guest stars Marc Taraud, Jérémy Payot, Rodolphe Lodetti et Jean-Marc Taraud.

Les résultats :

Marc Taraud : 8ème en 42 min 48.
Jérémy Payot : 9ème en 43 min 10.
Rodolphe Lodetti : 13ème en 44 min 14.
Jean-Marc Taraud : 63ème en 51 min 13 (3ème V3).

Chevrollier Sébastien


Sébastien est le plus fantastique des partenaires d’entrainement. Capable de courir longtemps et vite il est la locomotive parfaite et ni le vent, ni la pluie ne l’effraient.
Avec le marathon d’Amsterdam il a retrouvé le goût de la compétition et un très bon niveau. La saison 2018/2019 sera peut-être celle du renouveau !

SES RECORDS

10 km : 37 min 11 à Menton en 2013.
Semi : 1 h 20 min 14 au semi de Nice en 2013.
Marathon : 2 h 54 min 26 au Nice-Cannes en 2013.

COMPETITIONS 2012 – – Marathon Nice-Cannes

MARATHON DES ALPES MARITIMES


Qui mieux que les coureurs peuvent raconter leurs impressions ?
4 peillonais étaient sur le macadam d’un des plus beaux marathons du monde et nous livrent leurs sensations.

Christine Patat :
« Un petit compte rendu de ces fameux 42 ,195 km.
La première chose est que je me suis reposée pendant toute la semaine précédente sauf 2 sortie de 40min très très doucement. Le repos est primordial.

La grande question était comment allions nous gérer la pluie et le vent ??? Beaucoup de psychotage pendant cette semaine .. suite au récit de notre cher ami Sébastien j’ai eu peur !
Résultat nous sommes descendu de Saint Roch avec Seb et Julien à 7h45 dimanche sous un temps idéal, pas de vent, pas de pluie, pas de soleil. Déjà très bon pour le départ.
20 min d’échauffement et mise en place dans le sas des 3h15. Top départ un peu loin, on a mis 45 secondes pour passer la ligne.
Le ballon jaune des 3h15 est parti un peu vite on le surveillait de loin, allure à 4,30km de moyenne pour ralentir vers les 5ème kilo et retrouver une allure correcte..
On est passé devant très rapidement au bout de 8 km, plus jamais revu, YES
Course très agréable, à deux c’est très sympa, jusqu’au 30ème kilo, c’était plutôt facile allure entre 4,27 et 4,35. J’ai surtout bien géré l’hydratation et les gels.
Et on a rigolé et mis l’ambiance qui soit dite en passant n’était pas terrible du point de vue des spectateurs …sauf mon mari, mes filles, et les enfants de Seb à Cagnes sur Mer bien présents et TRES bruyants..que je remercie.
On passe le semi dans les temps et très bien .
A partir du 30ème kilo cela devient beaucoup plus dur avec un plat vallonné et une belle côte qui casse bien les jambes « on s’y attendait ». On a tout de même gardé l’allure, Seb à commencé à avoir des crampes (mais cela il vous racontera) et moi les genoux.. et les jambes très lourdes.. normal.
On est restés sur notre allure, les 3 derniers kilo on été durs mais très chouette, toujours en dépassant des concurrents les spectateurs étaient enfin présent et pour moi cette arrivée je l’ai adorée. Un grand moment de bonheur partagé, rien que pour cela ça vaut le coup ! Merci « 

Sébastien Chevrolier :
« Un petit mot pour vous confirmer , car je pense que vous le savez déjà,mais courir un marathon, c’est le kiff total !!! même si par moment , ça fait mal !!
Christine a déjà très bien résumé la course et donc pour ma part,j’ai eu en effet un début de crampe à partir du 30ème Km
mais je n’ai rien voulu lâcher, je repensais à Julien que l’on avais retrouvé malheureusement en difficulté quelques kms plus tôt .
Je ne pouvais et ne devais pas en rester là et puis il est vrai que le faire à 2 , c’est super sympa et « réconfortant ».
on a vraiment fait pour moi une belle course ou l’on a su être régulier sur l’ensemble (malgré les difficultés sur le fin)
Que du bonheur de passer la ligne d’arrivée !!!
je tiens a remercier Christine car moi qui suis novice dans le domaine de la CAP , c’est elle qui ma permis découvrir quelques courses dans ce domaine et donc de passer par des moments inoubliables
comme courir son 1er Marathon !!! Merci.

Une dernière chose, hier je me disais : aller c’est fait , maintenant repos et aujourd’hui , la course me manque déjà…. »

Sophie Juncker :

Julien Lodetti :
Salut a tous.
« Petit résumé du marathon.
3h44 au lieu 3 h 10 prévu. Tout s’est bien déroulé jusqu’au 26ème km (44 min au 10km et 1h 33 au semi) et la montée de La Garoupe où ma tendinite au genou est revenue … début du calvaire ou je n’ai fait qu’alterner entre la marche et la course.
Un véritable calvaire durant les 16 km restant. Impossible d’accélérer même en marchant je souffrais de l inflammation puis des crampes par la suite.

Bisou a tous je ne serai pas la les 3 prochaines semaines vous vous en doutez, repos mérité malgré une énorme déception… »

Les résultats :

450 03:13:18.534 PATAT CHRISTINE
451 03:13:18.632 CHEVROLLIER SEBASTIEN
946 03:26:55.557 JUNCKER SOPHIE
1976 03:44:26.030 LODETTI JULIEN