Ce week-end 3 compétitions étaient organisées et plusieurs de nos membres avaient fait le déplacement.

A Tourves, Franck Saffioti n’a pas ressenti d’incroyables sensations, mais il a fait de son mieux et il fut l’un des seuls à courir lors du mur final. Ce dernier effort lui a permis de doubler plusieurs concurrents et de terminer 16ème de cette course qui comptait au départ environ 200 coureurs.

Jean-Claude Bougon a participé quant à lui à la mythique ascension du col de la Bonette.

Il termine cette magnifique course en 136ème position en 3 h 20 min et 47 secondes.

Enfin Jérémy a participé au trail des Mélèzes.
Il termine 35ème de ce trail de 28 km en 3 h 36 min et 13 secondes.

Organisée de main de maître par Michel Lopez et toute son équipe, la foulée contoise a réuni un peu moins de coureurs cette année. La faute à quoi ? Aux trombes d’eau qui sont tombés durant toute la première partie de l’épreuve lorsque les coureurs tentaient de gravir la longue et unique côte de la course.

Victoires toutes mouillées donc pour David Gauthier et Adriana Di Guisto.

La pluie n’a cependant pas nui aux performances des coureurs, la preuve avec ces temps plus que satisfaisants des membres de Courir à Peillon :

A cinq minutes du vainqueur, Robert Sai a été un modèle de régularité courant sur les bases de son meilleur chrono contois.

Derrière lui, Franck Saffioti a amélioré son record de plus d’une minute car les conditions climatiques lui étaient favorables.

Belle course de Stéphane Cittadini qui signe un solide top 40 en 43 minutes.

Il a réussi à mettre plus de 2 minutes à notre nouveau champion de trail, Régis Serva un peu gêné par une rhinopharyngite contractée dans la semaine.

Pas loin derrière, Carine Verlay accroche une superbe 100ème place et surtout la 3ème place chez les V1F.

Nous retrouvons notre jeune et sympathique coureur, Mickael Taricco, qui progresse tout doucement sur ces courses du challenge du pays des Paillons.

Pour cloturer ce feu d’artifice peillonnais, Jean-Pierre Spies, notre néo retraité, était de retour à Contes (ça lui manquait déjà ?) et a bravé les intempéries lui aussi !

Jérémy Payot et la famille Waltzer étaient également là pour vous encourager et vous abreuver au passage des ravitaillements.

Saluons enfin la belle deuxième place en 36 minutes de notre ancien membre, Laurent Bermon, qui a bien progressé comme le reconnaissaient sur les podiums Moez Ammar et David Gauthier.

Remerciements également à Gillou et à son blog. Sans lui nous n’aurions pas ces magnifiques photos !

Les résultats

Robert SAI : 10ème en 39 min 15.
Franck SAFFIOTI : 13ème en 39 min 37.
Stéphane CITTADINI : 37ème en 43 min 03.
Régis SERVA : 65ème en 45 min 28.
Mickael TARICCO : 214ème en 56 min 24.
Jean-Pierre Spies : 221ème en 56 min 58.

319 partants.

A Lucéram, seuls Robert Sai et Franck Saffioti étaient présents.

Pour Robert l’objectif de fin de saison est la victoire au challenge du pays des Paillons. Sa 9ème place lui permet de se rapprocher de ses ambitions. Il termine de plus assez proche de l’heure ce qui est un beau chrono sur ce parcours.

Franck en est à environ 40 compétitions depuis le début de 2014. Il n’avait pas « les crocs » pour cette course mais avec son niveau de base il termine dans le top 15 en un peu moins d’une heure et six minutes.

Chantal Meillerand était à Biot et termine 105ème en 46 min 19 et termine 1ère V2F ! Bravo Chantal !

« Cela n’était ni prévu, ni arrivé depuis longtemps. Au hasard d’un footing quelques jours auparavant, j’avais observé une affiche annonçant une course pédestre. La course des orphelins, au profit comme son nom l’indique de quelques enfants, était organisée le long des berges de la Gave, au départ du stade d’eaux vives de Bizanos.

La première édition de la course est un peu intimiste, seulement 34 coureurs au départ, pour 13 km de course nature sur sentiers. Lorsqu’il y a peu de partants, les départs de courses sont toujours un peu rapides, il faut vite se ressaisir de ce débordement d’enthousiasme.
Au ravitaillement du 4ème km mon classement est déjà figé, mon poursuivant ne me rejoindra plus et si j’aperçois dans le final le coureur qui me précède avec l’impression que la fatigue le fait courir moins vite que moi, je parviens seulement à réduire l’écart sans le rejoindre (il aurait fallu un km de course supplémentaire). Je me classe 9ème sur 33 arrivants. »

Antoine Vissuzaine.