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– S’inscrire à la MC et au Trail

Les inscriptions en ligne sont ouvertes.
Ne trainez pas, pour des raisons de sécurité et de logistique seuls les 300 premiers inscrits pourront courir.

JE M’INSCRIS

Pour ceux, celles qui souhaitent s’inscrire par courrier, il vous suffit de renvoyer les informations contenues sur le flyer au :
COURIR A PEILLON
74, avenue Cernuschi
Le Mexico
06100 Nice

– Entretien avec … Jean-Louis Allamandi

Certains coureurs représentent parfaitement ce qu’est, pour Courir à Peillon, la course à pied : de l’entraînement, de la gentillesse, de la convivialité et de l’abnégation.
Notre ami, Jean-Louis Allamandi, que tous les coureurs du 06 connaissent, parcourt les routes des Alpes Maritimes depuis maintenant quelques années et fait l’unanimité autour de lui. Il a gentiment accepté de répondre à quelques une de nos questions.


Salut Jean-Louis, la Monta-Cala existe depuis maintenant 10 ans. Tu as participé à de nombreuses éditions. 
Qu’est ce qui te pousse à revenir presque chaque année ?

Si la Monta-Cala a changé de formule au cours de ses 10 années d’existence, l’accueil toujours aussi chaleureux ne peut que nous inciter à revenir chaque année : seules la maladie ou les blessures nous en empêchent, et c’est toujours alors avec le plus grand regret..

Comment choisis-tu les courses auxquelles tu participes ?

Pour le choix des courses, je privilégie bien sûr les courses sur route(s), où je suis plus à l’ aise : les descentes dans les trails ne sont plus de mon âge et me handicapent de plus en plus sérieusement.. Malgré tout, 2 ou 3 trails dans l’ année sont encore envisageables.. j’espère..

Aura-t-on l’a chance de te compter parmi nous le 10 juin 2018 ?

Le 10 juin est encore loin, mais déjà marqué d’ une pierre blanche : ma pré-inscription est, bien sûr, acquise.

Tu as été souvent embêté par des blessures ces derniers temps. As-tu cependant des objectifs sportifs pour la saison à venir ?

Blessures et gros ennuis de santé, hélas, comme tu le soulignes, mais le moral n’en souffre pas trop, et l’espoir est toujours là. Se retrouver, avant, pendant et après une course est toujours un vrai bonheur.

Un mot pour tous les coureurs débutants ou moins débutants qui se retrouvent de plus en plus nombreux sur les routes et les chemins ?

Pour tous les coureurs : continuez le plus longtemps possible, et que les jeunes générations viennent toujours plus nombreuses apporter leur énergie et leur bonne humeur, nous avons besoin à la fois de la continuité et du renouvellement..
Amitiés.
J.L.

Merci JL et on te souhaite le plein de podiums pour 2018 !

– Entretien avec … Walter Collazuol

Il diavolo Sarde aprente les routes et les chemins de la vallée du Paillon tout au long de l’année, en courant ou à vélo. 
Il a participé aux deux premières éditions du trail de Peillon, en terminant notamment trempé l’édition dantesque sous des trombes d’eau. 
Il a gentiment accepté de répondre à quelques une de nos questions en abordant notamment le côté technique de la compétition. Il est le premier en 2018 à nous confier ses impressions. 

– Salut Walter Collazuol. Tu as participé aux 2 éditions du trail de Peillon, comment le définirais-tu ? 

L’entraîneur d’une équipe de foot dit à ses joueurs de ne jamais sous-estimer l’adversaire. Dans le trail il est essentiel de ne pas sous-estimer le parcours.

Le petit trail de Peillon, fait de ses 17 km et moins de 1000 mètres de D+
peut facilement induire en erreur, même les coureurs les plus aguerris qui ne connaissent pas le parcours.

La ligne de départ est sur la route de Saint-Thècle, on sent respirer tout proche le Paillon.

Sur la ligne de départ on peut facilement se retrouver à côté de quelques champions de notre Région (en 2017 on en était à la deuxième édition et on enregistrait environ 80 participants, avec une très bonne ambiance).

Jusqu’au petit tunnel qui détermine le vrai départ du tracé trail, où nous commençons à douter de nous-même.

– Quels en sont ses points forts ? 

J’aime bien cette compétitions, pas très loin de la maison, pas trop longue, mais je tiens à souligner bien technique.
Un vrai banc d’essai pour savoir où on en est dans la préparation pour des compétitions plus longues. Cette année je voudrais participer à l’ultra trail des Alpes Maritimes.

Comme je disais c’est un petit parcours, mais très varié.

Les organisateurs se sont donnés du mal pour modeler cette jolie boucle entre le Paillon, Saint-Thècle et le caractéristique village de Peillon.

– Avec quel autre trail tu lui trouverais des points communs ?

Si on veut faire un commentaire sur le Dénivelé, là aussi on peut imaginer que le 900 mètres de D+ peut nous permettre de garder nos moyens de rêver, mais à la fin quand on commence à courir sur des pierres qui ressemblent à des lames et dans certaines montées on pense presque être sur une course de sky running, on peut vite regretter d’être parti trop fort.

– Tu as réalisé à chaque fois environ 2 h 12, est-ce que l’on te verra en 2018 et surtout est-ce que tu amélioreras ce chrono ? 

Pour finir, je participerai encore encore cette année, j’essayerai d’améliorer mon temps (env 2 heures 12) et finaliser ma préparation pour le Triathlon de Cannes.

Merci beaucoup Walter et rendez-vous le 10 juin !

– Entretien avec … Irène Fiore

Elle est la caution gentillesse et bonne humeur des courses du 06. Infatigable, elle forme avec Jean Pierre Fiore un couple sportif comme il n’en existe sans doute pas beaucoup.
La merveilleuse Irene Fiore a accepté de répondre à quelques questions :

– Tu participes depuis de nombreuses années à la Monta-Cala de Peillon. Pourquoi reviens-tu chaque année et surtout, aurons-nous la chance de vousretrouver encore cette année Jean-Pierre et toi ?

Oui, nous viendrons en 2018 courir au pays des Paillons. La raison de notre fidélité est que chaque année nous sommes accueillis comme si nous étions de la famille.

– Qu’est ce que c’est pour toi une course et une organisation réussie ?

La réussite d’une course est assez simple : déjà recevoir un accueil chaleureux.
Ensuite avoir un bénévole au bon endroit et évidemment de bons ravitos.
Je n’aime pas quand il y a un cumul podium scratch + catégories.
Enfin et si c’est possible, c’est plus sympa quand les 3 premiers de toutes les catégories sont récompensés.

– As-tu des objectifs sportifs pour l’année 2018 ?

Nous avons toujours des projets !
Courir 25 km à la Sainté Lyon puis un Marathon en Moldavie.
Enfin et pour le plaisir de multiples courses par ci par là évidemment avec mon amoureux.
Nous commencerons par la Prom’ Classic en janvier 2018.

– Merci Irène !

– Entretien avec … Marc Waltzer

Marc Waltzer tient le micro depuis la première édition de la Monta-Cala en 2009. Il donne de sa personne et de ses cordes vocales chaque année et a accepté de répondre à quelques questions.

– Marc, tu es le speaker de la course depuis 2009, comment t’es tu retrouvé sur ce poste et surtout, seras-tu encore la voix de Peillon cette année ?

Au départ, c’était surtout par souci d’économie que l’on m’a donné le micro, et maintenant il faut payer cher pour me le reprendre !

– Comment prépares-tu tes interventions ? Tu analyses tous les résultats des courses ?

Je suis depuis tant d’années dans le milieu de la course que je n’ai pas trop besoin d’aller voir voir sur internet.
J’ai juste besoin de me renseigner sur les performances des coureurs en présence. Quand j’ai un petit trou il me suffit de me rapprocher de Jeremy Payot et de Franck Saffioti pour avoir tous les détails : poids, taille, âge, records, projets de tous les coureurs du 06 et 83… j’ai aussi l’option de passer un petit coup de fil en Bretagne chez l’ami Stéphane Goile, la bible de la course à pied.

– Des nouveautés pour cette année ?

Pour cette année je comptais couper la musique de fond et chanter quelques chansons en niçois, mais on me l’a déconseillé ! Ou alors je vais peut être faire le commentaire bilingues, Niçois – Francais.
Plus sérieusement je vais essayer de donner la parole aux coureurs, et pas simplement aux premiers, afin de valoriser un maximum tous ceux qui font le succès de la course à pied dans le 06 depuis de longues années.

– Peux-tu nous montrer que tu n’es pas un imposteur et nous parler de tes différents records et de tes meilleures performances sportives ?

Dans une autre vie j’étais coureur à pied c’est vrai et sans être accro aux chronos, mais en courant pas mal de km hebdomadaires.
Je tournais à 16km sur l’heure, un petit peu moins de 3h sur un des rares marathons que j’ai couru (je n’étais pas un passionné de longues distances à part peut être le marathon du Médoc, mais celui là est un peu particulier).

– Tu as été le président du club et tu en es encore le président d’honneur. Qu’est ce qui te motive encore ?

J’ai été le président de Courir à Peillon pendant quelques années avec bonheur, depuis la création en 2007 jusqu’en 2014.
La course à pied fait donc partie de ma vie comme encore deux ou trois passions qui ne me lâchent pas mais c’est surtout la joie de côtoyer toute cette bande de joyeux fêtards (comme disait Moustaki) qui sans se prendre la tête arrivent à marier, sport, amitié, convivialité… qui me motive à ne pas me retirer et à donner encore un petit coup de main (et de temps en temps quelques avis contraires afin de calmer les ardeurs des plus entreprenants) Le club de Courir à Peillon par ses valeurs, et tous ses adhérents le méritent bien.

– Entretien avec … Jérémy Payot

Il est le créateur et l’un des principaux « débroussailleur » du Trail de Peillon. Jeremy Payot, le futur heureux papa d’un petit garçon, nous livre quelques informations sur le parcours.

– Salut Jérém, as-tu beaucoup testé de parcours avant de finaliser celui-ci ?

Réellement, je ne sais plus, je dirais 3 ou 4 parcours pour avoir une première ébauche du parcours. Après si on superpose les 3 ou 4 parcours testés, ils se ressemblent à 50% minimum
Dans un premier temps, j’ai été épaulé par les membres de Blausasc Trail, ils m’ont fait découvrir de nouveaux sentiers, donné leurs avis sur certains passages et m’ont accompagné lors des 1ères reconnaissances. Après il a fallu déterminer le sens de la courses, les zones à créer et à nettoyer. Une fois cela terminé, j’ai dévoilé le parcours aux membres du club, nous avons fait de nouvelles reconnaissances [un peu sauvages] avant d’entamer la phase création/nettoyage.

– Quels en sont les points forts ?

Je pense le profil varié de la course, le paysage, le passage dans le village de Peillon et avec un peu de chance la possibilité de croiser des chevaux et chèvres sauvages.

– Comment le définirais-tu ?

La première moitié est une succession de côtes et de faux plats montant sur terrain techniques, c’est une partie ou il faut être particulièrement vigilant. La deuxième moitié est plutôt roulante, les personnes qui auront bien géré leurs efforts devraient y faire la différence.

– Avec quels autres trails pourrais-tu le comparer ?

Il ressemble un peu au Trail des Limaces (BLAUSASC ) et de Laïssa Coure (PEILLE) pour ce qui est des sentiers empruntés. Après niveau profil et paysage on pourrait y trouver des similitudes avec … euh … je n’en ai pas qui me viennent en tête, il est donc unique !

– Est-ce que l’on peut attendre des innovations cette année ?

Le Trail de 17km devrait peu changer, on a eu de très bons retours sur les 2 premières éditions, mais il est possible qu’une jolie surprise améliore grandement le panorama. On est en train de chercher un nouveau parcours qui remplacerait la Monta-Cala de 9km.

– Quel est ton passage préféré de la course ?

Le passage sur crête qui est la partie plus technique selon moi car elle offre une vue à 360°, on surplomb le village de Peillon et on y croise des chèvres sauvages. C’est également l’endroit dans lequel on a passé le plus de temps à débroussailler et celui qui m’a le plus égratigné lors des reconnaissances, c’est pour dire à quel point je tenais à passer par là.

– Le record est détenu par Stéphane Giordanengo en 1 h 30 environ, est-ce que tu crois qu’il peut être battu ?

Stéphane était en grande forme lors de cette course, il est très à l’aise lorsque le terrain devient technique, au ravitaillement du village de PEILLON (Mi-course) son avance était déjà importante sur le deuxième, je pense qu’il a volé sur les cailloux . Le reste du parcours est composé principalement de descentes rapides et c’est également un autre de ses points forts. Donc oui, le record peut être battu mais ça sera loin d’être facile, le prétendant devra être complet et affuté.